S’inscrivant dans le cadre de la mise en œuvre de la phase B du Parcours d’Acquisition de Compétences (PAC) relatif à l’accompagnement des acteurs non étatiques et privés des filières agricoles pour le développement institutionnel des organisations professionnelles et interprofessionnelles agricoles, s’organise depuis le 09 Septembre 2020 à GANNA HÔTEL de Grand Popo, trois journées de formation.
Cette session fait partie intégrante d’un package de neuf (09) modules de formation identifiés dans ce PAC. L’ensemble de ces sessions vise à renforcer les capacités des Organisations Professionnelles et Interprofessionnelles Agricoles, notamment en matière de techniques et outils de développement institutionnel des OPA/OIP afin qu’elles soient à même de jouer leur rôle et de créer des conditions favorables à l’émergence d’OPA/OIP fonctionnelles et dynamiques.
C’est une série de formation vise à renforcer les capacités des Organisations Professionnelles et Interprofessionnelles Agricoles, notamment en matière de techniques et outils de développement institutionnel des OPA/OIP afin qu’elles soient à même de jouer leur rôle et de créer des conditions favorables à l’émergence d’OPA/OIP fonctionnelles et dynamiques.
L’objectif visé par la présente session est de rendre les apprenants capables d’élaborer un plan de communication et de le mettre en œuvre.
Cette formation est réalisée par le projet ARISA-B / Enabel sous financement de l’Union Européenne en partenariat avec Enabel et la Ministère de l’Agriculture de l’Elevage et de la Pêche. La formation est conduite par un expert en communication média et hors média, mis à la disposition du projet par le cabinet COTEF Sarl.
C. Serge A. A
Les 25 et 26 juin 2020 à l’hôtel Des Princes de Bohicon, il a été organisé un atelier d’actualisation et de validation des curricula de formation sur l’Agriculture Écologique et Biologique (AEB) au Bénin. L’AEB est une alternative durable de production qui préserve la santé des producteurs, fournir aux consommateurs des aliments sains et de qualité et ne compromet pas l’environnement pour les générations futures. Elle contribue à l’amélioration des moyens de subsistance, la réduction la pauvreté et la sécurité alimentaire. Les initiatives d’agriculture écologique et biologique sont en plein essor dans le monde.
L’un des objectifs clés de cette initiative est d’intégrer l’AEB dans les curricula de formation au niveau de l’enseignement secondaire et supérieur. Pour y parvenir, il est indispensable de faire le point des connaissances en matière de prise en compte de l’AEB dans les curricula de formation au Bénin. C’est fort de cela que la PASCiB (Plateforme des Acteurs de la Société Civile au Bénin), acteur de mise en œuvre du pilier communication et vulgarisation de l’I-AEB au Bénin a prévu au titre du PTBA 2020 d’actualiser les curricula de formation existant sur l’AEB au Bénin et leur niveau d’intégration dans les programmes nationaux d’éducation formelle.
Conduit par le Professeur Davo Simplice VODOUHE, Coordonnateur de la Plateforme de l’Agriculture Biologique et Écologique du Bénin (PABE-Bénin), accompagnés des experts agronomes cet atelier pendant les deux jours a connu une réflexion qui a abouti à la sortie d’un document fiable pour l’atteinte des résultats.
Les objectifs de cet atelier sont de :
L’atelier de travail s’est déroulé à la satisfaction de tous les participants. Les objectifs et résultats de formation ont été atteints. Ce qui s’illustre par la qualité des différents résultats des travaux de groupes.
Comlan Serge A. AMOUSSOU
Bien que les produits chimiques de synthèse aient contribué à l’augmentation de la production agricole, ils montrent aujourd’hui leurs limites. Leur utilisation excessive conduit à des problèmes tels que la contamination de l’environnement, le développement de la résistance et des problèmes de santé qui n’étaient pas prévus au moment de leur introduction. La promotion des alternatives aux produits chimiques de synthèse devient une nécessité.
L’agriculture écologique et biologique représente un des nombreux systèmes agricoles alternatifs qui ont surgi en réponse à des problèmes environnementaux mondiaux les plus ardus. En Afrique en général et au Bénin en particulier, l’agriculture écologique et biologique demeure l’affaire d’une minorité dont les efforts semblent vains face à l’ampleur de la tâche à accomplir afin que cette forme d’agriculture soit reconnue à sa juste valeur et institutionnalisée.
L’une des contraintes majeures au développement de l’agriculture biologique et écologique est l’indisponibilité de semences de qualité ou leur inaccessibilité par les producteurs.
Dans la mise en œuvre des activités pour l’atteinte des objectifs, des champs-école ont été installés.
Du 22 au 23 Juin 2020 à Kansounkpa dans la commune d’Abomey-Calavi s’est tenue une formation organisé par la PASCiB (Plateforme des Acteurs de la Société Civile au Bénin) qui représente le PILIER 2 : Information, communication et vulgarisation de l’Initiative AEB en Afrique ( Agriculture Écologique et Biologique) dont l’objectif global visé est de faciliter l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production sur la Chaîne de Valeur banane et plantain, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. Les participants à cette formation sont des producteurs de bananes et plantains, les représentants des différents piliers et les facilitateurs.
Ont conduit cette formation qui a duré deux jours, une équipe d’experts en agronomie.
Dr. Ir. TOVIGNAN Silvère
Dr DASSOU Anicet,
TOKANNOU René
Ir. Frida Dossa Nouatin
Ir. ATTOSSI Valentin
Ir AKPODJI Catherine
Spécifiquement il s’est agit de former les producteurs sur l’installation et conduite d’installation d’une bananeraie utilisant les approches agro écologiques ; d’une plantation de banane bio et sont capables d’identifiés les différents nuisibles de la banane.
Comlan Serge A. AMOUSSOU
L’Alliance de la Société Civile pour l’lntensification de la Nutrition au Bénin (ASCINB) et ses membres suivent avec attention les mesures de riposte prises par le Gouvernement du Bénin contre la pandémie du COVID-19 dont on redoute encore les effets et impacts sur les plans économique et social.
Bien que les autorités béninoises s’activent pour juguler cette crise sanitaire mondiale, multidimensionnelle sans précédent, les populations vulnérables doivent, quant à elles, respecter les consignes de sécurité et surtout faire face aux conséquences néfastes de cette crise et des mesures de mise en quarantaine et de cordon sanitaire qu’elle impose et qui se font déjà sentir dans les ménages. C’est pourquoi, en tant qu’Alliance de la Société Civile (ASC) engagée dans la promotion de la Nutrition et du développement humain durable, nous sommes très préoccupés par les effets pervers de cette pandémie dans nos communautés déjà en proie à de sérieuses difficultés pour une bonne et saine alimentation et lançons le présent appel à l’endroit du Conseil de l’Alimentation et de la Nutrition (CAN) et de toutes les institutions impliquées dans la riposte au COVID-19.
« Nous devons reconnaître que l’orientation des priorités, stratégies et moyens vers la riposte au COVID-19, au détriment de tous les engagements et agendas nationaux et internationaux dont les objectifs du développement durable (ODD) n’est pas sans risque et qu’il faudra intégrer systématiquement à ces efforts Ia prise en compte des urgences liées au renforcement de la nutrition dans la lutte contre le Corona virus »
En effet premièrement
« UNE BONNE NUTRITION EST ESSENTIELLE POUR LUTTER CONTRE LES MALADIES une bonne nutrition joue un rôle central dons le développement et le maintien du système immunitaire qui permet à tout individu de se protéger contre les maladies et les infections tout en contribuant à son rétablissement rapide. Les efforts entrepris pour préserver et promouvoir une nutrition adéquate avec le renforcement de l’allaitement maternel qui est sans risque de transmission du COVID-19, doivent ainsi être intégrés aux stratégies de prévention du COVID-19 afin de renforcer la résilience des individus et des communautés. Des régimes alimentaires sains et équilibrés sont essentiels voire indispensables pour prévenir l’émergence de maladies non transmissibles, qui sont des facteurs de risque liés à des taux accrus de morbidité et de mortalité. Les personnes vivant avec des maladies préexistantes et souffrant de maladies non transmissibles (telles que l’obésité, les maladies cardiaques, le diabète de type 2 et certains cancers) semblent être plus à risque de développer de graves symptômes du COVID-19 et ont un taux de mortalité plus élevé que les autres populations. »
Deuxièmement
« LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE DOIT ÊTRE PRÉSERVÉE : des mesures appropriées doivent être prises afin d’anticiper sur les mesures de mitigation des risques alimentaire et nutritionnelle que cette crise sanitaire engendre en veillant à ce que l’approvisionnement alimentaire ne soit pas perturbé, en dotant les agriculteurs d’intrants nécessaires à bonne date en ce début de saison pluvieuse. Aussi la valorisation et la promotion, dans l’immédiat et dans le futur, de produits forestiers non ligneux, des fruits et légumes traditionnellement consommés, doivent-ils être reconsidérés dans l’alimentation des groupes vulnérables (femmes enceintes ou allaitantes, enfants, les personnes du 3ème âge). Pour les raisons susmentionnées, protéger les populations pauvres et les plus vulnérables à la faim et à la malnutrition est une urgente nécessité à intégrer au dispositif de lutte contre le COVID-19 pour un réel succès ».
Troisièmement
« LA NUTRITION NE PEUT ATTENDRE : les interventions indispensables en matière de nutrition, qu’elles soient préventives ou curatives, doivent être maintenues impérativement car toute perturbation – même à court terme – pourrait avoir des conséquences irréversibles sur la survie, la santé et le développement des enfants. Les programmes doivent être adoptés au contexte actuel pour garantir une continuité de services ». C’est pourquoi les mères qui allaitent doivent être soutenues, étant donné le rôle central de l’allaitement maternel dans la construction de l’immunité d’un enfant, sans oublier I’aide aux ménages vulnérables qui peuvent être accompagnés de messages et d’informations sur une bonne nutrition, les soins et les protiques d’hygiène. “
Pour ce faire, il urge que Ia CAN se positionne clairement dans ce combat vital pour :
« INTÉGRER LA NUTRITION À LA LUTTE CONTRE LE COVID-19 en veillant à ce que les mesures de lutte contre le COVID-19 soient plus inclusives, prennent en compte la nutrition à travers une approche basée sur l’engagement, la collaboration et la coordination multisectorielle à toutes les étapes : de l’évaluation des besoins à la mise en oeuvre, en mettant l’accent sur la nutrition des nourrissons et des jeunes enfants, la sécurité alimentaire, les services d’hygiène et d’assainissement, l’égalité hommes-femmes et la protection sociale. La planification et la coordination de la lutte contre le COVID-19 doivent exploiter les capacités existantes en matière de nutrition ou Bénin, comprenant le CAN et les autres structures de coordination multisectorielle et multipartite, les ONG et le secteur privé en les engageant efficacement dans la lutte et en orientant les ressources actuellement disponibles vers la promotion des gestes barrières par les
communautés, la mise en place de système de surveillance communautaire et l’élaboration de plan de mitigation pour éviter l’effondrement des revenus des ménages et de l’économie locale des communautés ».
Ensuite, S0UTENIR LA CAPACITÉ DES SYSTÈMES DE SANTÉ À FONCTIONNER en renforçant la capacité des systèmes de santé ainsi que la santé des femmes et des hommes en première ligne face au COVID-19 tout en préservant le bon fonctionnement des outres services vitaux, en particulier les interventions spécifiques à la nutrition destinées aux femmes, aux enfants et aux adolescent(e)s. Ceci implique pour le Bénin le maintien des services de prise en charge efficace des femmes et des enfants tout en intégrant les mesures de riposte au COVID-19, le fonctionnement
des maternités et les services de prise en charge des enfants malnutris ait les appuis en dons d’équipements de protection au COVTD-19 doivent être systématiques.
Par ailleurs, ACCORDER LA PRIORITÉ AUX BESOINS DES PLUS VULNÉRABLES, notamment les personnes pauvres et/ou vivant avec un handicap, les femmes, les enfants doublement dépendants des adultes pour la nutrition et l’observance des mesures barrières, les jeunes et adolescents, etc. qui sont davantage fragilisées du fait de la pandémie liée ou COVID-19 et à ses conséquences socio-économiques. Ces dernières doivent bénéficier d’une assistance pour pouvoir se protéger face à la maladie et y résister durant l’entièreté de la crise et même après. Les acteurs béninois et les Partenaires Techniques et Financiers (PTF) œuvrant dans le secteur de la promotion sociale doivent être fortement sollicités pour orienter les ressources disponibles en faveur de la lutte contre le COVID-19 vers les populations vulnérables, les groupes marginalisés de la société.
Enfin, MAINTENIR LE FONCTIONNEMENT DES SYSTÈMES ALIMENTAIRES LOCAUX en soutenant la capacité des petits exploitants agricoles, des petites et moyennes entreprises ainsi que des organisations locales de la société civile à poursuivre la production et la fourniture en
quantité d’aliments sains, sûrs et diversifiés, financièrement abordables et culturellement appropriés aux communautés. La riposte contre COVID-19 devra être intégrée à toutes les étapes du processus de production afin d’éviter la propagation du corona virus parmi le personnel travaillant dans ces exploitations et entreprises. A cet égard, la Société Civile locale, régionale et nationale œuvrant dans la nutrition ou Bénin s’engage à sensibiliser la communauté béninoise afin que les produits alimentaires disponibles soient bien combinés pour une alimentation saine et
équilibrée au profit du consommateur.
La prise en compte des préoccupations et propositions ci-dessus permettra de réduire l’impact de la pandémie du COVID-19 sur les populations vulnérables, les productions agricoles, la transformation des produits alimentaires et l’accès aux marchés des produits. L’anticipation sur les affres éventuelles de la saison des pluies qui commence exige une attention particulière. Ces propositions contribueront également à soulager le fardeau des responsabilités familiales injustement imposé aux femmes et aux hommes par cette situation de crise mondiale.
Vive la lutte multisectorielle contre le COVID-19 !
Vive la Nutrition au service du développement du Bénin !
Fait à Cotonou le lundi 20 Avril 2O2O
Le Président
ATIDEGLA Aurélien Comlan
Ampliations:
Ministère de la Santé
Ministère de l’Economie et des Finances
Ministère de l’Agriculture de l’élevage et de la Pêche ;
Ministère de l’lntérieur et de la Sécurité Publique
Ministère de la Décentralisation et de la Gouvernance Locale
OMS
UNICEF
PAM
Archives (ASCINB)
Pour le Bureau de I’ASCINB
Le mercredi 18 Mars 2020, la Plateforme des Acteurs de la Société Civile (PASCiB) a tenu son Assemblée Générale Ordinaire (AGO) de l’année 2020 dans la salle de réunion « Alibori » de l’hôtel Bel Azur de Grand-Popo. L’ordre du jour adopté en début de session a porté sur six points :
Au terme des délibérations, plusieurs résolutions ont été prises, notamment le lancement d’un nouveau processus de planification stratégique qui prendra en compte la nécessité d’actualiser les plans de communication et de renforcement des capacités des membres d’une part, et de doter l’institution d’un plan participatif de mobilisation des ressources d’autre part.
Après de longue durée d’échanges et de présentations, le bureau est passé au élections pour le renouvellement de tous les organes de la Plateforme.
Trois principaux organes à savoir :
Au terme des opérations de vote qui ont connu la participation de 14 composantes sur 16, les personnes ci-après ont été élues à l’unanimité pour un mandat de cinq (5) ans aux postes suivants.
Postes des organes du CA |
Nom et Prénoms |
Organisations |
CONSEIL D’ADMINISTRATION |
||
Président |
Aurélien C. ATIDEGLA |
CFRONG |
Vice Président |
Léontine IDOHOU |
RIFONGA |
Secrétaire Général |
Calixta d’ALMEIDA |
ROSYB |
Trésorier Général |
Pascal DJOHOSSOU |
THP |
Responsable Qualité et Redevabilité |
Guy Constant EHOUMI |
Réseau JEB |
Responsable Chargé à l’Organisation |
Bernardin TOTO |
PNOPPA |
Conseiller |
Blanche SONON |
SWB |
COMITE D’ETHIQUE ET D’INTEGRITE |
||
Président |
Nardine DOSSOU S. |
AFAB |
Rapporteur |
Gustave ASSAH |
Réseau GLEGBENU |
Secrétaire |
Régina A. GANSEY |
FONAC |
COMMISSION DE CONTRÔLE |
||
1er Responsable chargé du Contrôle |
Epiphane AZON |
FENAPEB |
2ème Responsable chargé du Contrôle |
Landry LOUGBEGNON |
CAO |
La Plateforme des Acteurs de la Société Civile au Bénin (PASCiB) collabore avec le Projet d’Appui à la Diversification Agricole, phase additionnelle (PADA-FA) pour une bonne gouvernance dans la mise en œuvre du Projet. Sa collaboration porte notamment sur la veille citoyenne, le suivi dans la mise en œuvre et surtout le respect des engagements des parties prenantes, gage d’une plus-value aux résultats, de la garantie de la performance et de l’assurance d’une gouvernance concertée et transparente dans la mise en œuvre du projet.
Dans la logique de renforcement de ses actions, la PASCiB, avec le soutien financier de ProCAD, a démarré une série de rencontres citoyennes, de partage et d’analyse des interventions du PADA-FA/ProCAD avec la PNOPPA, les Mairies, les DDAEP, les ATDA et les Points focaux et Relais de la PASCiB.
Du 17 au 18 Mars 2020 à l’hôtel Bel Azur de Grand popo, a eu lieu le premier atelier qui constitue la première phase de ces rencontres et a regroupé trente-trois (33) participants.
L’objectif visé est de contribuer à la mise en œuvre efficace des PTBA 2020 des partenaires stratégiques du ProCAD pour l’atteinte des résultats de développement escomptés.
De façon spécifique, il s’est agi de :
Au terme de l’atelier, les résultats ci-après sont escomptés :
L’ouverture de l’atelier a été marquée respectivement par le mot de bienvenue du Président en exercice de la PASCiB et l’allocution d’ouverture de l’atelier du Coordonnateur National du ProCAD.
En conclusion, le Président en exercice de la PASCiB Monsieur Aurélien ATIDEGLA a remercié les participants pour leur engagement dont ils ont fait preuve et la qualité des résultats obtenus au terme de cette première phase de la série de rencontres citoyennes, de partage et d’analyse des interventions du PADA-FA/ProCAD avec la PNOPPA, les Mairies, les DDAEP, les ATDA et les Points focaux et Relais de la PASCiB.
Serge A. AMOUSSOU